cc c'est l'heur des test ça fait meme pas un jour que se blog existe et j'ai 55 vue
Valence – Le sifflement des quatre cylindres n’est plus qu’un vieux souvenir : depuis, la Yamaha R1 nous a habitué à un son roc et profond proche d’un bicylindre même s’il atteint des régimes bien plus élevé (14 000 trs). La version 2012 de la Yamaha R1 garde son moteur à explosion irrégulière ce qui avait déçu les aficionados du 4 cylindres hurleur mais qui avait aussi convaincu les autres, la preuve de son efficacité nous vient de la nouvelle très bonne saison 2011 en WSBK.
La nouvelle R1 a revu son look avec de nouveaux coloris élégants et très agressifs. À noter le médaillon 50th Anniversary qui fête les 50 ans de présence de la Yamaha dans les Grands Prix. Aux côtés de cette nouvelle livrée en édition limitée, on trouvera du bleu et un superbe gris mat. Les clignotants et les feux de position à LED sont nouveaux et donnent à l’avant un air plus classe et plus moderne.
Mais nous avons assez parlé barbouille et chiffon et passons à ce qui vous intéresse, à savoir, c’est quoi le TCS et qu’est-ce que ça change quand on met du gaz et du gros au guidon de ces 1000 full powa !
Onze ans après la RSV 1000, Aprilia revient sur le devant de la scène hypersport avec cette toute nouvelle RSV4. Cette machine qui a demandé plus de trois ans de travail, est pensée pour briller sur circuit en Mondial Superbike (WSBK), mais aussi entre vos mains dans le cadre d'une utilisation "hyper sportive" bien évidemment. Inutile donc de vous dire que je piaffais d'impatience à l'idée de boucler quelques tours à son guidon, heureux invité de la marque à cette présentation à ne rater sous aucun prétexte... Mais ce jeudi 2 avril 2009 au petit matin, une épaisse bruine recouvre le circuit de Misano, siège de cet essai en Italie. La météo, elle, a oublié de revêtir ses habits de lumière alors que j'enfile les miens, une fois le briefing de sécurité habituel terminé. Je regagne les boxes pour m'approcher du nouvel étalon italien quand je croise Miguel Galuzzi, designer de la RSV4 (et accessoirement, père de la première Monster Ducati et de la V Raptor Cagiva, entre autres...). On m'a confié la veille qu'il n'a pas eu autant de marge de manoeuvre qu'il l'aurait voulu pour déterminer lestyle de cette moto, devant avant tout se plier aux objectifs "racing" de la bête. Mais il en faut sans doute bien plus pour désarçonner un professionnel de cette trempe, et la ligne de la nouvelle "RSV Quatro", plébiscitée dans le monde entier avant même cette présentation, l'a déjà prouvé : cette nouvelle Aprilia, c'est d'abord une gueule hors du commun, et déjà un sans faute avant même les premiers tours de roues. Mais on est loin d'en avoir fini avec elle. Approchons-nous.
Vraiment pas triste
Lorsqu'on la découvre, juste là, devant soi, la RSV4 subjugue par son gabarit. Diable comme elle est compacte, autant qu'une 600 d'il y a quelques années ! Pour arriver à tel résultat, Aprilia a travaillé d'arrache-pied sur le moteur, et choisi au final une architecture en V4 à 65° (contre 60° pour le V2 de la RSV) qui lui permette justement de réduire les proportions de cette organe majeur. Et cela se confirme en prenant place à bord. Comme souvent sur les sportives, la selle est haute (845 mm) pour permettre de remonter les repose-pieds et ainsi conserver une excellente garde au sol en virage. Avec mon mètre soixante neuf, je pose la pointe des pieds de chaque côté, mais pas plus. Le buste bascule pour saisir les bracelets peu ouverts. L'appui sur les poignets est raisonnable alors que le poste de pilotage se concentre autour de la colonne de direction (façon Yamaha R6 !). La moto est étonnante de finesse à l'entre cuisse malgré les 4 cylindres de son moteur. De son côté, le balancier d'équilibrage fait déjà son effet, le RSV4 vibre peu au ralenti pour le moment. La sonorité fait aussi dans l'inédit, comme celle d'une Honda VFR (ou une RC30 à son époque comme vous le faisiez remarquer à juste titre sur le forum !) qui serait passée chez un préparateur adepte des MotoGP. Le moteur gronde, prolixe à monter dans les tours et balance pas mal, ne me préservant guère de ses grosses pulsations sonores. Vraiment pas triste, et pour tout dire plutôt bruyant pour une machine "légale"... De son côté, la finition est satisfaisante et les traitements de surface impeccables. On est bien en présence d'une Italienne haut de gamme. L'essayeur maison rentre de son tour d'inspection de piste, les pneus pluie racing Pirelli dessinent un rassurant sillage derrière lui, signe de leur efficacité pour évacuer l'eau. C'est toujours ça.
sourse : http://www.moto-station.com/article5812-aprilia-rsv4-factory-la-sportive-de-la-decennie-.html
Depuis le choc de son lancement en 1999, l'Hayabusa représente la vitesse pure dans le microcosme de la moto. Un visa permanent pour la barre des 300 km/h, alors que les autres sportives de l'époque n'était que des passeports provisoires. Tous les superlatifs lui ont été donné, la faisant passer de moto phénomène à mythe incontournable.
Et puis, le temps a passé, les 1000 hypersports ont pris le devant de la scène, et récemment, 2 trublions sont venus chatouiller les compteurs de la grosse GSX-R : une certaine Kawasaki ZZR 1400 et ses 193 chevaux, et une MV-Agusta F4 R revendiquant 312 km/h (les italiens ont leur propre sens de la modestie). Il était temps pour le calife de Suzuki de remettre les pendules à l'heure et calmer ces jeunes vizirs aux dents longues. Le temps pour Suz de libérer sur route la nouvelle1300 Hayabusa.
Et là, comme tout le monde, on se précipite sur les images, on est impatient, on s'attend à une révolution comme le fut son style à la fin du siècle dernier, on imagine tout et n'importe quoi, on s'extase d'avance... et on pousse, presque avec déception, un "ah ouais, pas mal...!".
Fini l'audace, limitons les risques, jouons la carte de l'évolution. La plastique générale demeure proche de sa devancière. Suffisamment pour conserver le style si intrinsèque de la bête, tout en lui apportant plus de classe, de dynamisme, de suavité. Toujours long et massif, le design du "faucon" est plus travaillé au niveau des courbes, soulignant le muscle confondu dans l'aérodynamisme. Une recherche de vitesse encore plus poussé se dévoile dans un postérieur taillé de sensualité vicieuse et élégante.
Un bloc phare revu, des ouïes d'admission d'air plus stylées, des échappements et flancs de carénage remodelés à la sauce des dernières GSX-R (en plus soft quand même), une bulle plus haute - des améliorations peu spectaculaires mais qui revalorisent habilement la silhouette de la moto la plus rapide du monde.
Ne vous arrêtez pas à sa robe modernisée et attendez le meilleur, le coeur, l'âme de l'Hayabusa. C'est dedans que ça se passe et c'est gros...
Fini l'audace, limitons les risques, jouons la carte de l'évolution. La plastique générale demeure proche de sa devancière. Suffisamment pour conserver le style si intrinsèque de la bête, tout en lui apportant plus de classe, de dynamisme, de suavité. Toujours long et massif, le design du "faucon" est plus travaillé au niveau des courbes, soulignant le muscle confondu dans l'aérodynamisme. Une recherche de vitesse encore plus poussé se dévoile dans un postérieur taillé de sensualité vicieuse et élégante.
Un bloc phare revu, des ouïes d'admission d'air plus stylées, des échappements et flancs de carénage remodelés à la sauce des dernières GSX-R (en plus soft quand même), une bulle plus haute - des améliorations peu spectaculaires mais qui revalorisent habilement la silhouette de la moto la plus rapide du monde.
Ne vous arrêtez pas à sa robe modernisée et attendez le meilleur, le coeur, l'âme de l'Hayabusa. C'est dedans que ça se passe et c'est gros...
Très gros. Un monument de vigueur que le 4 cylindres que nous avons sous le carénage. Il était impressionnant de watts ; il devient exceptionnel de puissance.
Avec une augmentation de la course de 2 mm, le bloc gagne 41 cm3 pour afficher un cubage total de 1340 cm3. Ce bouilleur, sérieusement revu, s'équipe de soupapes en titane et de 2 injecteurs par cylindre , gonfle son taux de compression de 11,5:1 à 12,5:1, renforce ses pistons avec un nouvel alliage d'aluminium, et pique de la technologie chez sa soeur GSX-R 1000 : en plus de l'admission à double papillon, la 1300 GSX-R est équipée du système de gestion électronique S-DMS, permettant au pilote de choisir entre 3 profils de cartographie moteur.
Ne souffrant d'aucun complexe de démesure, c'est avec sérénité que l'usine affirme que le moteur a gagné environ 12% de puissance et de couple avec ses améliorations. Nous sommes donc en présence d'un engin d'approximativement 198 chevaux et plus
Avec une augmentation de la course de 2 mm, le bloc gagne 41 cm3 pour afficher un cubage total de 1340 cm3. Ce bouilleur, sérieusement revu, s'équipe de soupapes en titane et de 2 injecteurs par cylindre , gonfle son taux de compression de 11,5:1 à 12,5:1, renforce ses pistons avec un nouvel alliage d'aluminium, et pique de la technologie chez sa soeur GSX-R 1000 : en plus de l'admission à double papillon, la 1300 GSX-R est équipée du système de gestion électronique S-DMS, permettant au pilote de choisir entre 3 profils de cartographie moteur.
Ne souffrant d'aucun complexe de démesure, c'est avec sérénité que l'usine affirme que le moteur a gagné environ 12% de puissance et de couple avec ses améliorations. Nous sommes donc en présence d'un engin d'approximativement 198 chevaux et plus
de 15,5 mkg. De quoi baver sur les compteurs.
Des manomètres à mesurer la folie. Il fallait bien un tableau de bord à l'expression forte pour contrôler la fougue, les performances et la bestialité de cette nouvelle bombe. Mélodie d'aiguilles emprisonnant des cristaux électroniques de contrôle, l'unique fausse note que les nostalgiques ou les férus de vitesse pourront déplorer est la graduation fixée à 280 maximum. Une vitesse folle ? Demandez aux premiers proprios de 1300 GSX-R, qui pouvaient apercevoir 340 en bas du cadran.
Les progrès se succèdent aux années, s'arretant sur les machines pour les griffer de leurs vertus. Oublions les 5 kgs que la moto a pris en 9 ans (220 aujourd'hui) pour découvrir les + au niveau châssis : la fourche inversée Kayaba accueille des disques de 310 mm mordus par des étriers radiaux, le cadre et le bras oscillant sont revus et plus rigides, la hauteur de selle baisse à 805 mm... plus dans un souci d'intégration optimisée du pilote que pour poser les pieds à plat au sol. La mouture 2008 se veut encore plus aérodynamique et rapide que l'ancienne.
Prévue pour la fin de l'année, la Suzuki GSX 1300 R Hayabusa risque bien de devenir la machine à fantasme des amoureux de vitesses et des radars (mais là, ils risquent de fumer). La première version de cette fusée fut poussée à plus de 310 km/h par un journaliste d'un magazine très connu - en 2008, la machine est plus profilée et dispose de 12% de power supplémentaire... il ne vous reste plus qu'à imaginer les flammes s'inscrustant dans la route après le passage d'un des plus fantastiques engins de la production moto.
a vous de juger
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