Rendez-vous à Bar sur Seine, en pleine Champagne, pour la deuxième manche du championnat de France. Ce lieu est connu pour tous les pilotes puisque l’Auto Moto Club Gyé Champagne a déjà organisé une épreuve du « France » à deux reprises par le passé. Je sais à quoi m’attendre avec la météo caniculaire annoncée : Un sol béton, de la poussière, des spéciales longues et sélectives et un contrôle horaire annoncé serré dans lequel il ne faudra pas avoir de problème. En contrepartie on évoluera dans un cadre superbe, ce qui est toujours appréciable.
Les trois spéciales programmées sont très longues, ce que nous réalisons en les reconnaissant à pieds durant des heures sous un soleil de plomb. Passons directement à la course :
Samedi matin, peu de temps après le départ, je m’élance dans la première spéciale qui compte une partie banderolée et une partie en sous-bois façon spéciale en ligne. Mon 7ème temps est bon et les écarts vraiment minimes. Cela lance bien ma journée, mais il ne va pas falloir mollir !
Pas le temps de souffler nous enchaînons avec la spéciale de Gyé qui est très longue, d’environ dix minutes, ce qui est très rare. Même si le temps que je réalise (6ème) ne le laisse pas vraiment voir, je dois composer avec un frein arrière quasi inopérant. Cela est tout simplement dû au liquide frein qui surchauffe au gré des freinages appuyés. Le contrôle horaire qui suit est donc le bienvenu pour changer le liquide de frein, respirer et repartir de plus belle pour la dernière spéciale du premier tour. C’est une banderolée vallonnée alternant passages rapides et enchainements lents. 7ème temps, il me faut hausser le rythme si je veux décrocher de gros points.
Dans la liaison qui suit j’essaie de m’économiser car le contrôle horaire 2 est sans assistance et nous devrons enchaîner avec le CH serré tant redouté. Le premier passage est toujours stressant car nous n’avons pas de repère pour savoir si nous pointerons à l’heure ou non. Heureusement je pointe avec une marge suffisante.
Fin du premier tour, je suis dans le bon groupe, je ne lâcherai rien, le top 5 est à ma portée.
Dans le tour suivant chaleur, poussière et efforts intenses commencent à faire leur œuvre. Mais je me sens bien, affuté et concentré. D’ailleurs mes résultats le prouvent : 6ème, 5ème, 6ème, tous les feux sont au vert. C’est dans ces moments là que je repense aux heures d’entrainement hivernal qui portent leurs fruits.
La fin de journée est un peu moins bénéfique pour moi. Je ne commets pourtant pas de grosse erreur mais à la différence de mes adversaires qui réussissent à hausser le rythme je réalise quasiment les mêmes temps que dans les tours précédents.
De retour au parc pour la mécanique du soir ce que j’avais ressenti en course se confirme : Mon bib mousse a été fortement sollicité mais je préfère le conserver. C’est un choix osé mais il m’offre un bon feeling. Coté résultats j’obtiens la 6ème place du jour, ce qui est satisfaisant mais ne change pas la face du classement provisoire du championnat. A suivre le lendemain…
Dimanche matin, prêt pour la bagarre !!! Le terrain s’est dégradé, les spéciales sont de véritables champs de mines avec de grosses ornières dans les virages, des zones de freinage façon tôle ondulée et de grosses pierres aiguisées qui affleurent dans les lignes droites. Tout sauf un long fleuve tranquille…
J’ai de bonnes sensations et cela se traduit par d’excellents chronos que j’enchaine tout au long de la journée. Je suis pratiquement tout le temps dans le top 5 des spéciales et pointe à la 4ème place de la journée au provisoire.
Si je vais bien, il n’en est pas de même pour mon bib mousse qui résiste mal aux traitements infligés dans ce sol hyper dur. Je ne sais pas si je pourrai rallier l’arrivée, d’autant qu’avec ce manque de pression dans mon pneu arrière deux rayons de roue ont cassé.
Avec mon assistance nous prenons la décision de changer le bib mousse au CH3, ce qui est un pari osé car je n’aurai guère plus de 5 minutes pour ce faire. Pari osé mais pari réussi.
Je peux repartir en confiance pour l’ultime tour de la journée. Tel un métronome je réalise le 5ème chrono dans les trois dernières spéciales du jour. Malheureusement, au moment de faire les comptes de la journée je constate avec amertume que je perds la 4ème place pour sept petits centièmes. Rageant…
Mais au soir de l’épreuve le bilan est positif et je préfère positiver : Tout au long du week-end j’ai été consistant, régulier et j’ai retrouvé le chemin du top 5 qui reste mon objectif minimum.
Je grappille une place au classement provisoire du championnat et l’écart est très faible avec les deux pilotes qui me devancent. Prochaine manche début juillet, l’espoir est de retour…
Ce résultat est aussi le fruit du Team Freenduro et de mon assistance que je remercie, tout comme mon pote Arnaud Blanc qui a fait du très bon boulot en tant que suiveur (et dieu sait que je ne suis pas toujours facile à manager durant la course…).
Une fois la course terminée, pas le temps de papillonner car dès le lendemain je dois être de retour à la maison pour reconditionner ma moto et ainsi commencer les reconnaissances du trèfle lozérien au plus tôt.
L’arrivée se fera à 3 heures du matin, 750 kilomètres de fourgon plus tard… La nuit est brève et fort heureusement ma monture n’a pas trop souffert des deux jours de course. Je peux donc entamer les recos du trèfle lozérien dès le mardi en compagnie de mon ami Loïc Minaudier qui sera un adversaire redoutable, lui qui devrait logiquement être titré champion de France N1 en fin d’année si tout va bien.
Comme pour toutes les classiques, les spéciales étant éloignées on « mange » à nouveau du fourgon et de nombreux kilomètres à pied en guise de décrassage. Heureusement la météo est clémente et les trois jours de course à venir s’annoncent sous les meilleurs auspices. Passons à la course justement :
Qui dit trèfle lozérien dit plateau de rêve. Parmi les 500 concurrents, la majorité des tops pilotes français sont là mais il y a aussi plusieurs pilotes étrangers de renom comme le champion du monde Ivan Cervantès. Même si je suis fan de certains d’entre eux je ne ferai pas de complexes, mon but est de bousculer la hiérarchie et de faire ma place. Avec mon numéro 25, je pars en ce vendredi de bonne heure. La première spéciale courue peu de temps après le départ donne le ton : Les spécialistes des spéciales sur prairie « à la française » sont devant mais on se tient dans un mouchoir de poche. Avec mon 16ème chrono je suis dans le coup. Tout au long de la journée je suis très régulier puisque je réalise respectivement les 18ème, 19ème, 15ème et 22ème temps. Je ne commets pas de grosse faute et prends énormément de plaisir au guidon de ma moto. Je sens que le feeling que j’avais en fin de saison dernière et cet hiver est en passe de revenir, ce qui est bon pour le moral.
Au terme de la journée je suis 16ème au classement général, juste derrière Ivan Cervantès mais devant certains bons inters et 2ème junior. Mon but sera donc d’intégrer le top 15. Dans ma catégorie, les juniors, la bataille s’annonce intense avec mon pote, le local de l’épreuve, Martin Bonnet qui a des ailes sur ses terres.
Malgré l’enjeu l’ambiance est excellente entre les pilotes. Je passe de bons moments en liaisons même s’il faut faire très attention dans la poussière (Monsieur Metge en fera d’ailleurs les frais en « rencontrant » involontairement une barrière).
En ce deuxième jour de course je ne suis pas dedans. Est-ce dû aux spéciales qui me plaisent moins, je n’en sais rien mais en tout cas je lutte pour ne pas m’éloigner des bonnes places. N’étant jamais sorti du top 20 tout au long de la journée je pense avoir limité les dégâts. Mais dans l’ultime chrono, la spéciale de la Vabre que l’on a pourtant parcouru la veille, je perds l’avant dans un freinage en dévers, ce qui m’envoie au sol. Mon coude est légèrement touché dans la chute, mais le plus gênant est de terminer la spéciale avec le guidon tordu. Je le paie cash puisque je réalise le 33ème temps.
Moi qui voulait entrer dans le top 15, cela m’en éloigne puisque je rallie le paddock avec la 21ème place au général de la journée et suis relégué 3ème du classement provisoire junior. Une fois la déception passée je me remotive pour aller de l’avant, tout donner dans le dernier jour de course et décrocher de bons chronos.
Dimanche, inversion des départs oblige, je prends le temps de bien m’échauffer et de me préparer mentalement à attaquer. Nous débutons la journée avec deux spéciales qui s’enchainent pratiquement. J’adopte un rythme plus soutenu en liaison pour arriver aiguisé, concentré. En spéciales je frêne fort et accélère tôt, ce qui se traduit par deux très bons temps (15ème et 11ème), de bon augure pour la suite. Je suis satisfait de mon pilotage retrouvé et franchis les cellules d’arrivée des spéciales content, ce qui est rare pour l’éternel insatisfait que je suis…
Les résultats suivants sont bons aussi, je réalise une belle remontée au classement provisoire. J’aborde l’ultime chrono de ce trèfle, la spéciale de la Vabre dans laquelle j’ai chuté la veille, avec méfiance mais tout se déroule bien. Je finis sur un beau 14ème temps. Cette journée aura indiscutablement été la plus belle en terme de sensations et de résultats, ce qui va souvent de pair.
Je conclus donc en beauté ce trèfle lozérien avec à la clé la 16ème place du classement général final, et 2ème en catégorie junior, entouré des lozériens Romain Boucardey et Martin Bonnet. Certes je reste aux portes du top 15 mais je suis très satisfait de ma course et surtout de la manière.
J’ai bon espoir d’intégrer le top 15 l’an prochain et d’ »avoir » les lozériens sur leurs terres !!!J’en profite pour remercier profondément mon assistance réduite pour l’occasion, Benjamin « Benji » Rémy, Fanny Missonnier et Hélène Bécaud, qui ont été des assistants de choc pour mon plus grand plaisir.
Par ailleurs je tiens à féliciter l’ensemble des bénévoles du Moto Club Lozérien pour l’organisation sans faille de l’épreuve, la qualité des spéciales proposées et la beauté du parcours de liaison. Je me suis régalé, et le MCL prouve que l’on peut rouler dans la nature en la respectant. Que cela dure encore longtemps…
Les trois spéciales programmées sont très longues, ce que nous réalisons en les reconnaissant à pieds durant des heures sous un soleil de plomb. Passons directement à la course :
Samedi matin, peu de temps après le départ, je m’élance dans la première spéciale qui compte une partie banderolée et une partie en sous-bois façon spéciale en ligne. Mon 7ème temps est bon et les écarts vraiment minimes. Cela lance bien ma journée, mais il ne va pas falloir mollir !
Pas le temps de souffler nous enchaînons avec la spéciale de Gyé qui est très longue, d’environ dix minutes, ce qui est très rare. Même si le temps que je réalise (6ème) ne le laisse pas vraiment voir, je dois composer avec un frein arrière quasi inopérant. Cela est tout simplement dû au liquide frein qui surchauffe au gré des freinages appuyés. Le contrôle horaire qui suit est donc le bienvenu pour changer le liquide de frein, respirer et repartir de plus belle pour la dernière spéciale du premier tour. C’est une banderolée vallonnée alternant passages rapides et enchainements lents. 7ème temps, il me faut hausser le rythme si je veux décrocher de gros points.
Dans la liaison qui suit j’essaie de m’économiser car le contrôle horaire 2 est sans assistance et nous devrons enchaîner avec le CH serré tant redouté. Le premier passage est toujours stressant car nous n’avons pas de repère pour savoir si nous pointerons à l’heure ou non. Heureusement je pointe avec une marge suffisante.
Fin du premier tour, je suis dans le bon groupe, je ne lâcherai rien, le top 5 est à ma portée.
Dans le tour suivant chaleur, poussière et efforts intenses commencent à faire leur œuvre. Mais je me sens bien, affuté et concentré. D’ailleurs mes résultats le prouvent : 6ème, 5ème, 6ème, tous les feux sont au vert. C’est dans ces moments là que je repense aux heures d’entrainement hivernal qui portent leurs fruits.
La fin de journée est un peu moins bénéfique pour moi. Je ne commets pourtant pas de grosse erreur mais à la différence de mes adversaires qui réussissent à hausser le rythme je réalise quasiment les mêmes temps que dans les tours précédents.
De retour au parc pour la mécanique du soir ce que j’avais ressenti en course se confirme : Mon bib mousse a été fortement sollicité mais je préfère le conserver. C’est un choix osé mais il m’offre un bon feeling. Coté résultats j’obtiens la 6ème place du jour, ce qui est satisfaisant mais ne change pas la face du classement provisoire du championnat. A suivre le lendemain…
Dimanche matin, prêt pour la bagarre !!! Le terrain s’est dégradé, les spéciales sont de véritables champs de mines avec de grosses ornières dans les virages, des zones de freinage façon tôle ondulée et de grosses pierres aiguisées qui affleurent dans les lignes droites. Tout sauf un long fleuve tranquille…
J’ai de bonnes sensations et cela se traduit par d’excellents chronos que j’enchaine tout au long de la journée. Je suis pratiquement tout le temps dans le top 5 des spéciales et pointe à la 4ème place de la journée au provisoire.
Si je vais bien, il n’en est pas de même pour mon bib mousse qui résiste mal aux traitements infligés dans ce sol hyper dur. Je ne sais pas si je pourrai rallier l’arrivée, d’autant qu’avec ce manque de pression dans mon pneu arrière deux rayons de roue ont cassé.
Avec mon assistance nous prenons la décision de changer le bib mousse au CH3, ce qui est un pari osé car je n’aurai guère plus de 5 minutes pour ce faire. Pari osé mais pari réussi.
Je peux repartir en confiance pour l’ultime tour de la journée. Tel un métronome je réalise le 5ème chrono dans les trois dernières spéciales du jour. Malheureusement, au moment de faire les comptes de la journée je constate avec amertume que je perds la 4ème place pour sept petits centièmes. Rageant…
Mais au soir de l’épreuve le bilan est positif et je préfère positiver : Tout au long du week-end j’ai été consistant, régulier et j’ai retrouvé le chemin du top 5 qui reste mon objectif minimum.
Je grappille une place au classement provisoire du championnat et l’écart est très faible avec les deux pilotes qui me devancent. Prochaine manche début juillet, l’espoir est de retour…
Ce résultat est aussi le fruit du Team Freenduro et de mon assistance que je remercie, tout comme mon pote Arnaud Blanc qui a fait du très bon boulot en tant que suiveur (et dieu sait que je ne suis pas toujours facile à manager durant la course…).
Une fois la course terminée, pas le temps de papillonner car dès le lendemain je dois être de retour à la maison pour reconditionner ma moto et ainsi commencer les reconnaissances du trèfle lozérien au plus tôt.
L’arrivée se fera à 3 heures du matin, 750 kilomètres de fourgon plus tard… La nuit est brève et fort heureusement ma monture n’a pas trop souffert des deux jours de course. Je peux donc entamer les recos du trèfle lozérien dès le mardi en compagnie de mon ami Loïc Minaudier qui sera un adversaire redoutable, lui qui devrait logiquement être titré champion de France N1 en fin d’année si tout va bien.
Comme pour toutes les classiques, les spéciales étant éloignées on « mange » à nouveau du fourgon et de nombreux kilomètres à pied en guise de décrassage. Heureusement la météo est clémente et les trois jours de course à venir s’annoncent sous les meilleurs auspices. Passons à la course justement :
Qui dit trèfle lozérien dit plateau de rêve. Parmi les 500 concurrents, la majorité des tops pilotes français sont là mais il y a aussi plusieurs pilotes étrangers de renom comme le champion du monde Ivan Cervantès. Même si je suis fan de certains d’entre eux je ne ferai pas de complexes, mon but est de bousculer la hiérarchie et de faire ma place. Avec mon numéro 25, je pars en ce vendredi de bonne heure. La première spéciale courue peu de temps après le départ donne le ton : Les spécialistes des spéciales sur prairie « à la française » sont devant mais on se tient dans un mouchoir de poche. Avec mon 16ème chrono je suis dans le coup. Tout au long de la journée je suis très régulier puisque je réalise respectivement les 18ème, 19ème, 15ème et 22ème temps. Je ne commets pas de grosse faute et prends énormément de plaisir au guidon de ma moto. Je sens que le feeling que j’avais en fin de saison dernière et cet hiver est en passe de revenir, ce qui est bon pour le moral.
Au terme de la journée je suis 16ème au classement général, juste derrière Ivan Cervantès mais devant certains bons inters et 2ème junior. Mon but sera donc d’intégrer le top 15. Dans ma catégorie, les juniors, la bataille s’annonce intense avec mon pote, le local de l’épreuve, Martin Bonnet qui a des ailes sur ses terres.
Malgré l’enjeu l’ambiance est excellente entre les pilotes. Je passe de bons moments en liaisons même s’il faut faire très attention dans la poussière (Monsieur Metge en fera d’ailleurs les frais en « rencontrant » involontairement une barrière).
En ce deuxième jour de course je ne suis pas dedans. Est-ce dû aux spéciales qui me plaisent moins, je n’en sais rien mais en tout cas je lutte pour ne pas m’éloigner des bonnes places. N’étant jamais sorti du top 20 tout au long de la journée je pense avoir limité les dégâts. Mais dans l’ultime chrono, la spéciale de la Vabre que l’on a pourtant parcouru la veille, je perds l’avant dans un freinage en dévers, ce qui m’envoie au sol. Mon coude est légèrement touché dans la chute, mais le plus gênant est de terminer la spéciale avec le guidon tordu. Je le paie cash puisque je réalise le 33ème temps.
Moi qui voulait entrer dans le top 15, cela m’en éloigne puisque je rallie le paddock avec la 21ème place au général de la journée et suis relégué 3ème du classement provisoire junior. Une fois la déception passée je me remotive pour aller de l’avant, tout donner dans le dernier jour de course et décrocher de bons chronos.
Dimanche, inversion des départs oblige, je prends le temps de bien m’échauffer et de me préparer mentalement à attaquer. Nous débutons la journée avec deux spéciales qui s’enchainent pratiquement. J’adopte un rythme plus soutenu en liaison pour arriver aiguisé, concentré. En spéciales je frêne fort et accélère tôt, ce qui se traduit par deux très bons temps (15ème et 11ème), de bon augure pour la suite. Je suis satisfait de mon pilotage retrouvé et franchis les cellules d’arrivée des spéciales content, ce qui est rare pour l’éternel insatisfait que je suis…
Les résultats suivants sont bons aussi, je réalise une belle remontée au classement provisoire. J’aborde l’ultime chrono de ce trèfle, la spéciale de la Vabre dans laquelle j’ai chuté la veille, avec méfiance mais tout se déroule bien. Je finis sur un beau 14ème temps. Cette journée aura indiscutablement été la plus belle en terme de sensations et de résultats, ce qui va souvent de pair.
Je conclus donc en beauté ce trèfle lozérien avec à la clé la 16ème place du classement général final, et 2ème en catégorie junior, entouré des lozériens Romain Boucardey et Martin Bonnet. Certes je reste aux portes du top 15 mais je suis très satisfait de ma course et surtout de la manière.
J’ai bon espoir d’intégrer le top 15 l’an prochain et d’ »avoir » les lozériens sur leurs terres !!!J’en profite pour remercier profondément mon assistance réduite pour l’occasion, Benjamin « Benji » Rémy, Fanny Missonnier et Hélène Bécaud, qui ont été des assistants de choc pour mon plus grand plaisir.
Par ailleurs je tiens à féliciter l’ensemble des bénévoles du Moto Club Lozérien pour l’organisation sans faille de l’épreuve, la qualité des spéciales proposées et la beauté du parcours de liaison. Je me suis régalé, et le MCL prouve que l’on peut rouler dans la nature en la respectant. Que cela dure encore longtemps…
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